C'est l'histoire de la vie et d'une bande d'amis dont on voudrait faire partie...
Une grande histoire d'amour et d'amitié qui a déjà séduit plus de 20 000 lecteurs !
Sortie en librairie le 21 mars.
Pour acheter la version papier du livre, sélectionner le format "broché" ci-dessus.
Résumé :
Alexandre, Marco, Sophie et les autres se connaissent depuis l’enfance. Ensemble ils sont nés, ensemble ils ont grandi, en toute insouciance. Mais lorsque la vie les prend au sortir de l’adolescence, la chute est brutale. En une décennie, cette jeunesse perdue mais pas désillusionnée va devoir apprendre à se battre pour exister. À travers
les drames subsistent alors l’amitié, les fous rires et les joies. Et l’amour, qui les sauvera.
Tendre portrait d’une génération, Hier encore, c’était l’été est un roman résolument optimiste qui accroche le coeur pour ne plus le lâcher. C’est l’histoire de nos guerres quotidiennes, de nos victoires et de nos peines.
C’est surtout l’histoire de la vie et d’une bande d’amis dont on voudrait faire partie.
Extrait :
C’était la fin de l’été. Après être revenus d’une baignade tardive, ils avaient sorti des bouteilles de rosé bon marché, quelques bières, et pris l’apéritif sur la terrasse face au lac. Les cheveux encore mouillés, collés par paquets sur les nuques dorées, les serviettes étendues sur la balustrade, les pieds croisés sur une chaise ou les jambes du voisin, ils avaient siroté leur verre en regardant le soleil se coucher derrière la montagne. Cette montagne qu’ils connaissaient depuis l’enfance, mais dont tous ignoraient finalement le véritable nom, bien qu’on le leur ait répété cent fois, et au sujet duquel ils s’affrontaient immanquablement lors de leurs retrouvailles, chacun y allant de son affirmation, chacun se prévalant de mieux savoir et d’être plus intégré à ce pays d’adoption que les autres ne le seraient jamais.
Puis, la nuit venue, ils étaient rentrés dans la maison et s’étaient assis autour de la grande table en bois au centre de laquelle les garçons avaient déposé le caquelon, tandis que les filles finissaient de découper le pain. C’était août encore, mais ils s’en moquaient. Ils étaient jeunes, ils étaient beaux, ils se baignaient à vingt heures, buvaient à vingt-deux et dînaient d’une fondue à vingt-trois.
Ils étaient libres et tout-puissants comme le sont les enfants de vingt ans.
Description:
C'est l'histoire de la vie et d'une bande d'amis dont on voudrait faire partie...
Une grande histoire d'amour et d'amitié qui a déjà séduit plus de 20 000 lecteurs !
Sortie en librairie le 21 mars.
Pour acheter la version papier du livre, sélectionner le format "broché" ci-dessus.
Résumé :
Alexandre, Marco, Sophie et les autres se connaissent depuis l’enfance. Ensemble ils sont nés, ensemble ils ont grandi, en toute insouciance. Mais lorsque la vie les prend au sortir de l’adolescence, la chute est brutale. En une décennie, cette jeunesse perdue mais pas désillusionnée va devoir apprendre à se battre pour exister. À travers
les drames subsistent alors l’amitié, les fous rires et les joies. Et l’amour, qui les sauvera.
Tendre portrait d’une génération, Hier encore, c’était l’été est un roman résolument optimiste qui accroche le coeur pour ne plus le lâcher. C’est l’histoire de nos guerres quotidiennes, de nos victoires et de nos peines.
C’est surtout l’histoire de la vie et d’une bande d’amis dont on voudrait faire partie.
Extrait :
C’était la fin de l’été. Après être revenus d’une baignade tardive, ils avaient sorti des bouteilles de rosé bon marché, quelques bières, et pris l’apéritif sur la terrasse face au lac. Les cheveux encore mouillés, collés par paquets sur les nuques dorées, les serviettes étendues sur la balustrade, les pieds croisés sur une chaise ou les jambes du voisin, ils avaient siroté leur verre en regardant le soleil se coucher derrière la montagne. Cette montagne qu’ils connaissaient depuis l’enfance, mais dont tous ignoraient finalement le véritable nom, bien qu’on le leur ait répété cent fois, et au sujet duquel ils s’affrontaient immanquablement lors de leurs retrouvailles, chacun y allant de son affirmation, chacun se prévalant de mieux savoir et d’être plus intégré à ce pays d’adoption que les autres ne le seraient jamais.
Puis, la nuit venue, ils étaient rentrés dans la maison et s’étaient assis autour de la grande table en bois au centre de laquelle les garçons avaient déposé le caquelon, tandis que les filles finissaient de découper le pain. C’était août encore, mais ils s’en moquaient. Ils étaient jeunes, ils étaient beaux, ils se baignaient à vingt heures, buvaient à vingt-deux et dînaient d’une fondue à vingt-trois.
Ils étaient libres et tout-puissants comme le sont les enfants de vingt ans.